juillet 31

La flexibilité … la suite (3).

L’importance des manipulations locales

Une des particularités du bauchérisme consiste à traiter la moindre résistance de façon locale. Il n’et pas question de chercher à supprimer ou atténuer une résistance en mettant tout le corps du cheval en mouvement, mais de la traiter localement, à pied comme en selle.

La flexibilité découle de l’absence de résistance, c’est à dire quand le cheval n’emploie pas sa musculature antagoniste (et ce de façon volontaire ou non), et qu’il n’utilise que le strict nécessaire de tonus musculaire pour réaliser ce qu’il est en train de faire (en fait, il y a là ce que le général L’Hotte expose dans sa définition de la légèreté dans le juste emploi d’énergie nécessaire au mouvement considéré !). Lire plus

juillet 19

Décontracter …

Décontracter : le physique et le mental !

Au départ, les mobilisations de la nuque et de l’encolure avaient pour principales raisons d’en libérer des tensions voire isoler et réduire des blocages, rendre disponible ce gouvernail « tête-encolure », (re)trouver le jeu nécessaire permettant de déporter le poids sur l’antérieur du dehors (pli et incurvation), bref, c’était une suite de manipulations dont l’orientation n’était que du domaine de la gymnastique. Lire plus